La mise en récit de sa vie se démocratise aujourd’hui de plus en plus avec de nombreuses attentes. Car, si la narration est maintenant parée de toutes les vertus, si nous constatons bien que le récit peut être travaillé avec des attentes thérapeutiques ou cathartiques voire formatives, peut-il être considéré « en soi » comme facteur de résilience, ou permet-il d’en révéler, après coup, l’éventualité ?